« Toi qu’exalte l’image du rocher solitaire livré à tous les assauts de l’Océan battu des vents, battu des flots, frappé par la foudre au fort des tempêtes, sans cesse couvert d’écume furieuse, mais toujours debout, millénaire après millénaire ; — toi qui voudrais pouvoir t’identifier, avec tes frères dans la foi, à ce symbole tangible des Forts, au point de sentir : « C’est nous ! C’est moi ! », libère-toi des deux mortelles superstitions : de la recherche du « bonheur » et du souci de l’ « humanité » — ou garde-toi d’y jamais tomber, si les Dieux t’ont accordé le privilège d’en être dès ton jeune âge exempt. »
Savitri Devi, « Souvenirs et réflexions d’une Aryenne », I. La religion des Forts.