« Tu devrais succomber, désespérer, mais l’esprit te sauvera. Nul laurier, nulle couronne de myrte ne te consolera ; mais l’Olympe, l’Olympe vivant, présent, dont l’éternelle jeunesse fleurit autour de toi. Le monde en sa beauté est mon Olympe ; c’est en lui que tu vivras ; c’est avec les créatures sacrées de ce monde, avec les Dieux de la Nature, que tu retrouveras la joie. »
Friedrich Hölderlin, « Hypérion ou l’ermite de Grèce ».