« Jamais je n’avais éprouvé avec autant de force la vérité de cette antique sentence du Destin : une félicité nouvelle est donnée au cœur qui persiste, qui endure la mi-nuit du chagrin ; et, comme le chant du rossignol dans l’obscurité, le concert du monde n’est perçu divinement que du fond de la douleur. »
Friedrich Hölderlin, « Hypérion ou l’Ermite de Grèce », p. 237.