« Qu’il te soit indifférent, quand tu accomplis ton devoir, d’avoir froid ou chaud, de somnoler ou d’avoir assez dormi, d’entendre dire du mal ou du bien de toi, de mourir ou de faire quelque autre chose. En effet, l’acte par lequel nous mourons est l’un de ceux dont se compose la vie. Il suffit donc, pour celui-là aussi, de bien disposer l’affaire présente. »

Marc Aurèle, « Pensées », Livre VI, 2.

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